Nos 10 meilleurs articles street-art de 2024
Avec RS Artist, l’art prend un second souffle RS Artist est un artiste niçois qui mélange pop-art et street-art dans un univers vibrant. Il détourne des œuvres mythiques de l’art pour leur donner une renaissance qui reflète la culture pop […]
Avec RS Artist, l’art prend un second souffle
RS Artist est un artiste niçois qui mélange pop-art et street-art dans un univers vibrant. Il détourne des œuvres mythiques de l’art pour leur donner une renaissance qui reflète la culture pop et la culture populaire afin de « démontrer que l’art, la société de consommation et la culture pop sont au même niveau et peuvent coexister dans une seule et même image. »
Retour en enfance de Zoulette
L’artiste française autodidacte Zoulette recouvre les murs de personnages enfantins et hauts en couleur, pour le plus grand bonheur des passants. Elle se distingue par sa grande imagination et ses réalisations qui nous replongent dans la période de l’enfance, éveillant une nostalgie à chaque tracés. Elle explore différentes techniques et supports, puisant son inspiration dans son environnement.
Les animaux sous le rayon X de ROA
Le street-artist belge ROA s’’impose dans les rues par des œuvres gigantesques représentant des animaux en noir et blanc. Imagés sous un rayon X inspiré par les planches anatomiques d’anciens manuels de médecine, il représente le cycle de la vie de tout être vivant. Comme tous, il s’adapte à son environnement pour faire passer un message fort : réhabiliter la nature dans un monde bétonné.
Ami Imaginaire, la douceur de paris
Basée à Paris, Ami Imaginaire s’est faite connaître pour ses œuvres délicates et fantaisistes qui habillent les rues parisiennes, offrant un réconfort aux habitants. Ayant elle-même débuté son travail dans un besoin thérapeutique, elle souhaite retranscrire ses effets à ceux qui regardent ses créations qui contrastent avec le paysage urbain, monotone et morose, de la ville. Une réelle échappatoire à notre monde.
L’art titanesque de Saype
Saype est un artiste connu pour ses fresques hyperréalistes immenses. S’il s’est éloigné du street-art pour explorer l’univers trop peu connu du land art, son travail est unique en son genre. A la fois engagé dans ses messages comme dans son travail, il utilise une peinture biodégradable à base de caséine et produit des œuvres qui marquent les esprits malgré leur éphémérité.
Pour Ladybug, 1000 points valent mieux qu’un mot
Artiste street-art spécialisée dans le pointillisme au pochoir, Ladybug fige sur les murs des portraits de personnes africaines et met en valeur les peaux noires dans des créations réalistes et expressives. Si elle a débuté dans la rue pour extérioriser ses pensées, ses œuvres sont aujourd’hui exposées dans des galeries.
Les femmes et les lapins de Lady Aiko
Depuis plus de 30 ans, Lady Aiko transforme les murs de New York en véritables toiles vivantes, mêlant l’art du pochoir inspiré de la gravure sur bois japonaise à des références de la culture américaine. Ses portraits féminins, souvent baignés de teintes roses et violettes, ainsi que ses lapins, reproduits à l’infini, constituent les éléments emblématiques de son œuvre audacieuse et iconique.
Bebar, entre figuratif et abstrait
Bebar, artiste franco-espagnol originaire de Vitry-sur-Seine, s’est imposé dans le monde du street-art grâce à ses fresques monumentales. Son travail, à l’intersection du figuratif et de l’abstrait, offre au spectateur une liberté totale d’interprétation. À travers ses créations audacieuses, il exprime une passion profonde pour l’art urbain, qui mélange créativité et transgression.
L’art, l’expression de James Colomina
« En tant qu’artiste, je crois en la puissance des images pour éveiller les consciences ».
James Colomina dévoile des sculptures qui s’ancrent dans les rues du monde entier et qui témoignent de la violence quotidienne des invisibles de la société. Il dénonce l’injustice sociale et la vulnérabilité des plus démunis dans des productions qui abordent diverses thématiques. Chacune de ses créations est dominée par la couleur rouge, symbole de la violence, du sang, mais aussi de la passion et de l’espoir. L’artiste a fait le choix d’exposer dans la rue pour être accessible et visible par tous.
La valse des pantins de Jérôme Mesnager
A travers ses pantins blancs, Jérôme Mesnager sublime les rues avec simplicité. Des bonshommes qui semblent innocents, mais qui sont finalement porteurs d’un message bien plus détaillé qu’il décrit lui-même comme un « symbole de lumière, de force et de paix ». Jérôme Mesnager s’appuie sur divers supports pour loger ses « corps blancs » qui prennent vie dans des environnements divers et variés.
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