Le Vision Pro semble plaire aux chirurgiens
Si le Vision Pro n'est pas ce que l'on peut appeler un succès après un an de commercialisation, il trouve tout de même sa place dans quelques domaines. Apple avait communiqué sur son intérêt dans le domaine de la santé, et un retour de l'expérience menée avec Sharp (un gestionnaire de centres de soins, pas la société japonaise) montre que le casque trouve grâce aux yeux des chirurgiens. Un chirurgien au travail. Image Sharp HealthCare. Les informations livrées par Fast Company montrent que le casque a trouvé un public. Le centre Sharp HealthCare (basé à San Diego) a acheté trente casques Apple au lancement, et ils ont été utilisés par environ 300 personnes. L'environnement était propice au casque d'Apple, il faut bien le dire : 90 % des médecins du centre utilisent un iPhone et plus de la moitié possèdent un Mac. Ils expliquent notamment que le casque d'Apple rivalise visiblement avec les moniteurs à 20 000 $ employés habituellement, et que le fait d'avoir l'image directement dans le champ de vision pendant une opération, sans devoir tourner vers la tête vers un moniteur, est un avantage. Le poids et le format du casque ne semblent pas être un problème pour les chirurgiens, et les opérations sont assez courtes (45 à 90 minutes) pour éviter de devoir recharger le casque. Un des médecins, le docteur Broderick, explique aussi qu'il pense que le casque — et l'informatique spatiale en général, pour reprendre les termes d'Apple — a de nombreux usages. Deux exemples cités sont le suivi d'une opération en récupérant le flux vidéo (avec la possibilité éventuelle d'aider un confrère ou de corriger un interne), mais aussi la téléconsultation. Apple voit un avenir au Vision Pro dans le milieu médical
Si le Vision Pro n'est pas ce que l'on peut appeler un succès après un an de commercialisation, il trouve tout de même sa place dans quelques domaines. Apple avait communiqué sur son intérêt dans le domaine de la santé, et un retour de l'expérience menée avec Sharp (un gestionnaire de centres de soins, pas la société japonaise) montre que le casque trouve grâce aux yeux des chirurgiens.
Les informations livrées par Fast Company montrent que le casque a trouvé un public. Le centre Sharp HealthCare (basé à San Diego) a acheté trente casques Apple au lancement, et ils ont été utilisés par environ 300 personnes. L'environnement était propice au casque d'Apple, il faut bien le dire : 90 % des médecins du centre utilisent un iPhone et plus de la moitié possèdent un Mac. Ils expliquent notamment que le casque d'Apple rivalise visiblement avec les moniteurs à 20 000 $ employés habituellement, et que le fait d'avoir l'image directement dans le champ de vision pendant une opération, sans devoir tourner vers la tête vers un moniteur, est un avantage. Le poids et le format du casque ne semblent pas être un problème pour les chirurgiens, et les opérations sont assez courtes (45 à 90 minutes) pour éviter de devoir recharger le casque.
Un des médecins, le docteur Broderick, explique aussi qu'il pense que le casque — et l'informatique spatiale en général, pour reprendre les termes d'Apple — a de nombreux usages. Deux exemples cités sont le suivi d'une opération en récupérant le flux vidéo (avec la possibilité éventuelle d'aider un confrère ou de corriger un interne), mais aussi la téléconsultation.
Apple voit un avenir au Vision Pro dans le milieu médical